Les enjeux paysagers liés à l’urbanisme

Dernière mise à jour : 28 mars

Villages et villes des Landes se sont constitués au cours des siècles, laissant un riche héritage patrimonial : l’airial dans sa clairière, les quartiers balnéaires, les bastides, les centres anciens… Les implantations des villes, bourgs et villages ont valorisé les atouts des sites privilégiés : site défensif, versant ensoleillé, sommet de colline, bord de rivière ou clairière agricole…
Récemment les extensions urbaines se sont surtout faites avec des maisons et des lotissements en périphérie des centres anciens ou étirés le long des routes. La silhouette des villages a souvent été brouillée. L’entrée de ville se fait à travers un tissu commercial et artisanal qui donne la première image de la ville, parfois peu harmonieuse.

  Maitriser le développement urbain et dynamiser le centre-bourg

L’étalement urbain depuis les années 60 a eu lieu avec des intensités très diverses à travers le département des Landes. L’attractivité du littoral et des villes, la présence de voies de communication importantes, le sollicite fortement. Concernant le littoral, la MIACA [1] avait établi un schéma d’aménagement pour garantir un certain équilibre. Un peu partout, la progression de l’urbanisation s’est effectuée de façon linéaire le long des routes ou encore par des lotissements successifs, tournés sur eux-mêmes, souvent mal connectés au reste du bourg. Ces développements vont de pair avec des centres anciens qui ont été en partie délaissés et laissés vacants. Une certaine banalisation voit le jour, avec ces extensions au fil de l’eau. Un questionnement s’impose pour orienter les futurs développements, recomposer ce qui peut l’être, ou encore préserver des coupures ou des espaces non bâtis. Affirmer des limites nettes, instaurer des transitions, densifier en recomposant, créer des liens urbains, renforcer des centralités, constituent des pistes à envisager avec à chaque fois l’élaboration d’un projet urbain et paysager le plus en amont possible. Ces enjeux doivent être envisagés à une échelle intercommunale et s’inscrire dans les documents d’urbanisme tels que les Scot [2] et les PLUi [3]. Ces démarches sont indissociables de la dynamisation des centres anciens et des centralités secondaires.

Pistes d’actions envisageables :
 Prôner un développement durable et économe de l’espace dans les documents d’urbanisme. Adapter le développement du bourg à l’objectif de Zéro Artificialisation Nette des sols. Proscrire l’urbanisation linéaire et le mitage.
 Définir un projet urbain à long terme. Anticiper les futurs secteurs d’expansion urbaine. Acquérir des réserves foncières pour amorcer la densification dans des lieux stratégiques : proximité d’un centre, d’un équipement public, de commerces, desserte transport en commun...
 Se développer autrement que par l’étalement urbain. Travailler sur la densité et le renouvellement urbain et maitriser les formes urbaines. Envisager d’autres formes d’urbanisation que le lotissement au profit de quartiers reliés avec le centre bourg.
 Sur le littoral, intégrer le recul du trait de côte dans la planification de l’urbanisme et dans l’aménagement urbain. Anticiper le repli sur les territoires arrière-littoraux.
 Dynamiser les centres bourgs pour inciter la restauration des habitations. Faire évoluer le bâti ancien en centre bourg pour mieux correspondre à la demande actuelle (restructuration d’îlots).
 Instaurer une diversité et une mixité d’usages et de fonctions. Maintenir dans le centre du bourg des activités, des commerces, des écoles, des crèches, des maisons d’accueil pour personnes âgées ou encore des locaux associatifs. Dynamiser le centre bourg par des équipements publics plutôt que de les délocaliser à l’extérieur du village.
 Requalifier les extensions urbaines en faisant appel à l’urbanisme végétal en lien avec le réchauffement climatique. Prévoir des espaces publics structurants ou de liaisons. Prévoir dans toute extension urbaine des espaces publics structurants en lien avec le centre bourg.
 Affirmer les entrées, requalifier les voies d’accès, les pénétrantes, les boulevards.
 Composer la périphérie et la transition ville-campagne. Soigner les périphéries des villages : plantations, chemin de tour de village, abords du cimetière.
 Conserver des coupures d’urbanisation pour garder des respirations. Donner aux espaces agricoles, forestiers et naturels une reconnaissance et une protection forte leur permettant de rivaliser avec la pression foncière urbaine. Eviter la fragmentation de ces espaces non-bâtis.
 Préserver la silhouette groupée des villages et des bourgs. Etre vigilant sur l’emplacement, les volumes et les couleurs des nouvelles habitations. Favoriser l’alignement des façades et la mitoyenneté qui font le charme des centre-bourgs denses.
 Veiller à l’impact paysager des bâtiments d’activités en périphérie. Requalifier les abords des zones d’activités situées le long des axes et des entrées de villes. Maitriser la qualité architecturale des bâtiments d’activités : volume, implantation, couleur…

  Valoriser les sites bâtis et les structures urbaines historiques

Force est de constater que peu de gens citent les lotissements ou les extensions urbaines comme des lieux attractifs incitant à la promenade. Par contre, le centre ancien gagne en général les suffrages. A bien y regarder, les villages, les bourgs ou les villes présentent un fort intérêt non égalé à ce jour. Ce n’est pas un hasard car ils composent avec leurs sites d’implantation, révélant ainsi des atouts géographiques et historiques qui font leur originalité. Outre des qualités architecturales avérées, la façon dont les formes urbaines se sont adaptées au site n’est pas anodine. Elles composent avec le relief (crête, versant, pied de coteau), la présence de l’eau (bord de rivière, confluence), la végétation (clairière) et utilisent des matériaux de construction spécifiques (calcaire, galet, garluche, grès, bois…). Cela a créé des ensembles reconnus et souvent considérés aujourd’hui comme patrimoniaux. Citons les bastides du Bas-Armagnac et leur plan régulier, les villages perchés des coteaux de l’Adour, de la Chalosse ou du Tursan, les villages-airials dans la Grande Lande, les bourgs au bord de l’eau dans la vallée des Gaves… De nombreux développements bâtis hétéroclites dans les dernières décennies ont fortement transformé les abords de villages et des bourgs, banalisant ou brouillant la qualité d’origine. Le maintien de cette harmonie avec le site constitue un enjeu important. La hiérarchie des masses bâties, le maintien de la silhouette groupée du village, les liaisons avec l’existant… sont autant de points de vigilance, garants d’une qualité paysagère. L’enjeu est de se développer tout en continuant à valoriser l’originalité du site. Outre la structure du village et ses particularités internes, il est important de préserver et garder la lisibilité de la composition avec le relief. Le maintien de belvédères, la gestion de la végétation et des espaces agricoles alentours, constituent les clés pour faire perdurer ces paysages urbains remarquables.

Pistes d’actions envisageables :
 Mettre en valeur les sites d’implantation des villages et des bourgs. Révéler les particularités du site (crête, versant, fond de vallée). Valoriser les éléments singuliers qui donnent au bourg son côté unique : belvédère, place centrale, bord de rivière…
 Prendre en compte la dimension « urbaine » du patrimoine dans les documents de planification, pas seulement l’architecture. C’est aussi la composition d’ensemble, qui fait « patrimoine ».
 Respecter l’échelle du village et sa silhouette dans son développement. Préserver la silhouette groupée des villages et des bourgs. Harmoniser le développement en fonction du relief. Maitriser les développements urbains sur les versants et en pied de relief, particulièrement visibles depuis les hauts des villages perchés. Prendre en compte la forme urbaine du village et son site dans les projets d’extension.
 Respecter la hiérarchie des masses bâties. Eviter les juxtapositions ou les vis à vis malencontreux pour les constructions ou les zones de développement. Etre vigilant sur l’emplacement, les volumes et les couleurs des nouvelles constructions. Veiller à l’impact paysager des bâtiments agricoles en périphérie.
 Renforcer le centre bourg plutôt que d’éparpiller des constructions dans les hameaux ou le long des routes. Composer les extensions avec le centre ancien. Dynamiser les centres des villages pour inciter à la restauration des habitations.
 Empêcher le mitage des environs du village. Veiller à l’impact paysager des bâtiments agricoles en périphérie.
 Soigner les parcelles agricoles et de jardins formant l’écrin du village ou du bourg. Limiter l’enfrichement des versants. Dégager la végétation aux abords des villages pour conserver leur lisibilité.
 Porter une attention particulière aux routes d’accès et aux entrées. Gérer les périphéries des villages : plantations, chemin de tour de village, abords du cimetière…
 Préserver la spécificité des villages-airials : conserver une forme urbaine lâche structurée par des espaces publics arborés généreux. Conserver l’ambiance des airials et l’ouverture des clairières bâties. Maintenir la distance entre les bâtiments et limiter les clôtures.
 Valoriser les compositions urbaines régulières des bastides : mise en valeur de la place centrale, densification urbaine autour de la place plutôt qu’un étalement urbain périphérique, requalification des traversées par la route départementale, mise en valeur des entrées de ville.

  Prendre en compte le patrimoine bâti

Le patrimoine bâti des Landes révèle ses qualités avec des particularités remarquables plus locales. Ainsi, se décline par exemple : le patrimoine bâti gallo-romain, maisons romanes en pierre coquillère, église, cloître, abbaye, maison à pan de bois, fermes, airial, bâtiment thermal Art déco, villa balnéaire basco-landaise, arènes, bâtiments institutionnels, patrimoine du 20e siècle, châteaux, maisons sur couverts, hôtel particulier, forges … et bien d’autres. Mais au delà de ces bâtiments bien identifiables, on observe de nombreux ensembles urbains, qui ne sont pas d’architecture savante, mais qui ont conservé des caractéristiques morphologique et urbaine d’origine. Leur plus faible reconnaissance laisse libre cours à transformation parfois peu respectueuse. Une connaissance mieux partagée du patrimoine permettrait de mettre l’accent sur la nécessaire valorisation de ces bâtiments. Le petit patrimoine ne doit pas être oublié avec les fontaines, les sources, les lavoirs, les calvaires ou encore les ponts. Toutes ces composantes patrimoniales méritent d’être reconnues, inventoriées, préservées… La pérennité et le respect au fil du temps de ce patrimoine participe grandement à la qualité des paysages des Landes et méritent toute l’attention.

Pistes d’actions envisageables :
 Inventorier et réhabiliter le patrimoine : airial, ferme, forges, église, chapelle, patrimoine bâti balnéaire...
 Sensibiliser les propriétaires à l’intérêt du bâti et à la spécificité de son implantation. Prendre en compte la variété des modes de construction ; repérer les spécificités pour éviter l’uniformisation. Impliquer les professionnels du bâtiment pour sauvegarder et valoriser cette diversité.
 Alimenter les sites d’information sur toutes les données patrimoniales. Restituer aux habitants la connaissance sur la valeur patrimoniale de leur bien.
 Valoriser la diversité du patrimoine bâti, sans hiérarchie en fonction de l’ancienneté.
 Eviter l’accolement ou la proximité d’architectures banalisantes.
 Veiller à la cohérence des lots en cas de divisions de propriétés pour favoriser l’intégrité du bâti et son avenir, mais aussi pour garder l’image d’ensemble. Etudier avec soin tout phénomène de densification.
 Réfléchir à l’implantation et à l’architecture des nouveaux bâtiments en covisibilité.
 Dans les bourgs, réhabiliter et transformer le bâti ancien mitoyen pour répondre aux usages actuels (regroupement de maisons, création de jardin ou de garage, recomposition du bâtiment derrière une façade préservée, restructuration d’îlots…).
 Prendre en compte les logiques d’implantation du bourg dans son site, valoriser les éléments qui donnent au bourg son côté unique.
 Valoriser le patrimoine bâti du village, sa singularité, son histoire. Prendre en compte et valoriser la diversité du patrimoine bâti, sans hiérarchie en fonction de l’ancienneté.

  Mettre en valeur les espaces publics

Les espaces publics expriment à travers le département des Landes une grande diversité. Ils jouent un rôle primordial pour l’image des villages et des bourgs. Lieux d’accueil et de découverte, ils constituent le cadre quotidien des habitants mais aussi des touristes. Ils sont incontournables de la vie publique, participant à fédérer une vie sociale riche et partagée. Place, avenue, boulevard, parc, belvédère, quai, rue, ruelle, allée, mail… chaque espace public participe à la qualité de vie de la commune et nécessite une grande attention dans son aménagement et son entretien. Leur adéquation avec le bâti permet d’affirmer le charme et l’attrait du bourg. Les espaces publics permettent également de relier le village ou le bourg à son entourage par des circulations douces ou par des aménagements de transition (parc public, jardins familiaux, tour de village…). C’est aussi un moyen de recomposer des secteurs existants désorganisés ou tournés sur eux même, en recréant des liens. Il permet de donner des points de repères (place centrale, esplanade, avenue, rue, passage, parc…) et de relier les opérations d’urbanisme à leur entourage. Dans ces environnements urbains, ruraux ou plus naturels, il est important que les aménagements conservent une belle simplicité, respectent les sites et aident à les révéler. Aménager des espaces publics de qualité et en prévoir de nouveaux au fil des développements constituent donc des enjeux importants tant pour la vie quotidienne des habitants que pour l’accueil des visiteurs.

Pistes d’actions envisageables :
 Conserver l’esprit et l’harmonie des lieux dans les aménagements des espaces publics.
 Préserver le cachet des places et les mettre en valeur. Trouver un équilibre entre stationnement et convivialité des espaces publics. Révéler l’histoire et soigner la qualité des aménagements. Affirmer les centralités par des espaces publics structurants.
 Respecter et valoriser le caractère rural ou balnéaire des centres des villages et des bourgs. Privilégier l’utilisation de matériaux locaux dans les aménagements. Utiliser un vocabulaire simple mais de qualité pour les aménagements des espaces publics : sol sablé, pierre, arbres, pelouse, suffisent dans bien des cas à composer des espaces de qualité.
 Recomposer les espaces publics du front de l’océan en raison de l’érosion du littoral. Privilégier des aménagements plus souples, dans l’esprit du milieu dunaire littoral.
 Préserver la spécificité des villages-airials : conserver ou replanter des arbres de haut jet dans les espaces publics. Privilégier les surfaces enherbées ou sablées au bitume. Maintenir les bas-côtés enherbés le long des rues. Préserver des espaces ouverts autour du village.
 Privilégier les surfaces enherbées ou sablées au bitume. Maintenir les bas-côtés enherbés le long des rues qui font le charme des stations littorales et des villages. Préserver des espaces ouverts autour du village.
 Utiliser l’arbre à bon escient pour structurer l’espace des entrées (alignement) ou des places (mail). Utiliser l’arbre pour climatiser les espaces publics.
 Inventorier et préserver les mails de platanes palissés à l‘horizontale, qui constituent une forme paysagère identitaire des bourgs landais. Former les agents à leur gestion spécifique et développer de nouveaux mails de platanes palissés.
 Prévoir dans toute extension urbaine des espaces publics en lien avec le centre bourg.
 Composer, suivant les cas, avec le passage de la rivière, le bord de lac ou de l’océan.
 Adapter l’aménagement de la rue en fonction de la composition urbaine : rue, boulevard, venelle…
 Recomposer des espaces publics avec l’eau. Mettre en scène les façades urbaines sur la rivière. Valoriser le passage de l’eau comme élément fédérateur d’espaces publics.
 Aménager des espaces de transition entre ville et campagne. Aménager des tours de villages attractifs en complément du centre ancien. Prévoir des circulations douces en relation avec le centre bourg et sa périphérie.

  Aménager avec soin les zones d’activités

Les développements des zones d’activités et commerciales sont particulièrement prégnants en périphérie des agglomérations (Dax, Mont-de-Marsan…), les longs des axes majeurs, mais aussi, à des échelles plus restreintes, en de nombreux points du territoire. Leur étendue, la forte taille des bâtiments et leur positionnement le long des voies, en entrée de bourg ou en périphérie des villes, voire parfois isolés, leur confère une forte visibilité. Leur développement fait souvent appel à un mode d’urbanisation très spécifique, basé sur l’effet vitrine, l’accessibilité automobile et sur une composition architecturale et urbaine peu qualitative. La composition de ces lieux mérite d’être réinterrogée pour évoluer vers une plus grande qualité urbaine. Le dynamisme économique de la commune est un atout, s’il s’accompagne d’une qualité des aménagements et de l’architecture. Le positionnement de la zone d’activité et sa relation avec son entourage constitue également un enjeu. Plutôt que de s’isoler et de fonctionner tournées sur elles-mêmes, les zones commerciales pourraient être conçues comme un quartier urbain, présentant une diversité d’usages et d’accès. Des espaces de transitions seraient bienvenus pour mieux les associer à leur contexte tant urbain que rural. Les espaces publics gagnerait à être structurés et hiérarchisés, avec un aménagement qualitatif au moins sur les voies principales, alliant simplicité et facilité de gestion. L’objectif est de favoriser une unité et un cadre commun vis à vis d’installations parfois hétéroclites, pour créer un projet d’ensemble harmonieux. L’enjeu est de concilier l’effet de vitrine pour les entreprises et le maintien d’une image qualitative de la ville.

Pistes d’actions envisageables :
 Bien choisir le lieu d’implantation des zones d’activités en se questionnant sur la perception de la silhouette du bourg depuis les routes d’entrée. Eviter les positions dominantes très visibles. Evaluer les concurrences visuelles.
 Eviter le développement linéaire sans épaisseur.
 Prôner un développement durable et économe de l’espace dans les documents d’urbanisme. Adapter le développement à l’objectif de Zéro Artificialisation Nette des sols.
 Favoriser la réutilisation des parcelles désaffectées plutôt que la consommation de nouvelles parcelles. Requalifier certaines zones existantes.
 Aménager les zones d’activités par un projet paysager de qualité. Penser son aménagement comme un quartier urbain qui forme la porte d’entrée du bourg. Adapter la zone à son contexte d’implantation (superficie, structure parcellaire, forme urbaine, végétation en place…)
 Imposer un plan de composition urbain et paysager. Préverdir pour gagner du temps. Prévoir une charte architecturale et paysagère. Favoriser l’implantation d’arbres de haut jet adaptés à l’échelle des bâtiments.
 Prévoir, aménager et gérer les limites de la zone d’activité qui en constitue l’enveloppe.
 Placer les stockages et les stationnements à l’arrière des bâtiments ou en retrait des vues.
 Privilégier les bâtiments de teintes sombres et les matériaux non réfléchissants.
 Privilégier un alignement rigoureux des façades afin de structurer l’espace de la voie.
 Mutualiser les stationnements dans les zones commerciales.
 Utiliser des végétaux à l’échelle du bâti : planter des arbres de haut-jet pour structurer les voies. Planter les routes d’accès ou en périphérie.
 Privilégier la discrétion des clôtures lorsqu’elles sont nécessaires et les harmoniser.
 Réglementer l’affichage publicitaire et les enseignes.
 Aménager des circulations douces (piéton, vélo).




  Bibliographie paysage et urbanisme

Site internet

 Paysage et urbanisme durable
 La démarche Bimby
 Opération programmée d’amélioration de l’habitat- ANAH

Guides

 Urbanisme et Zéro artificialisation nette. MTECT, 2023
 Mise en œuvre de la réforme ZAN. MTECT, 2023
 Les Orientations d’Aménagement et de Programmation du PLU- DHUP-2020

Plaquettes

 PLUi et Plan de paysage - Club PLUi - 2018
 Communes rurales valorisez vos espaces publics et économisez sur leur entretien. FN CAUE, 2012

[1Mission Interministérielle pour l’Aménagement de la Côte Aquitaine

[2Schéma de Cohérence territorial

[3Plan Local d’Urbanisme intercommunal

Voir aussi