Repères géographiques de la Maremne

Dernière mise à jour : 3 septembre 2024

  RELIEF ET EAU

Relief et hydrographie de la Maremne
IGN BD Topo

Comme sur tout le littoral landais, le relief de la Maremne est marqué par le massif dunaire littoral qui domine le plateau landais. Toutefois au sud-est, le plateau landais s’efface au profit des collines du Gosse-Seignanx.

Un massif dunaire qui s’efface vers le sud

Dans la Maremne, le massif dunaire poursuit sa réduction par rapport au nord de la côte landaise.
Jusqu’à Soorts-Hossegor, le massif dunaire borde le littoral sur une largeur maximale de 5 km Il présente un relief complexe, constitué d’une succession de chaînes dunaires séparées par des dépressions (lettes ou lèdes), dont la profondeur atteint fréquemment 30 à 40 m. Les dunes présentent des sommets dont l’altitude s’élève progressivement vers l’est, depuis la dune bordière (15 à 20 m) jusqu’aux plus hautes dunes atteignant entre 50 m et 60 m.
Entre Soorts-Hossegor et Labenne, il devient progressivement plus étroit, avec des dunes devenant moins élevées, pour quasiment disparaitre au sud de Labenne, laissant la place à une large arrière-dune littorale formant une dépression de 4 à 6 m d’altitude.
A l’ouest, la dune vive borde le littoral océanique le long de la plage et s’étend sur quelques centaines de mètres de large. Son altitude varie de 15 à 25 m. Avec un sol purement minéral, elle est localement mobile sous l’action du vent et des tempêtes.

Les traces de l’ancien lit de l’Adour

L’estuaire de l’Adour se trouvait au niveau de Capbreton jusqu’au XIVe siècle, après avoir contourné Bayonne par le sud et remontait vers le nord en englobant le cours du Boudigau. Vers 1310, diverses tempêtes et accumulations de sable modifient son cours et l’embouchure de l’Adour se déplace alors plus au nord, à Vieux-Boucau. L’embouchure actuelle de l’Adour à Boucau-Neuf, près de Bayonne, date de 1578.
Le Boudigau, est aujourd’hui canalisé entre le Marais d’Orx et le port de Capbreton, traversant la dépression de l’arrière-dune.
Le lac d’Hossegor, est un vestige de l’ancien estuaire de l’Adour à Capbreton. Autrefois d’eau douce, il a été relié à la mer en 1875. Aujourd’hui c’est un lac marin, rythmé par les marées, qui accueille le seul pôle ostréicole landais.

Le plateau landais vallonné et ses étangs

Le rebord de ce vaste plateau présente des altitudes modestes comprises entre 2 m et 60 m. Il descend en pente très douce vers l’ouest et vers le sud. Les points les plus bas sont atteints au pied des premières dunes, dans les vallons des multiples ruisseaux qui drainent le plateau (altitude la plus basse, 2 m, le long du ruisseau de Lamothe) et au bord des étangs.
La chaîne des étangs et marais d’arrière-dune s’est formée suite à l’élévation des massifs dunaires ; les petits fleuves côtiers landais se sont trouvés bloqués par le sable et ont donné naissance aux trois étangs (Hardy, Blanc et Noir) au contact entre le massif dunaire et le grand plateau des Landes. Les étangs présentent une dissymétrie entre les profils des rives ouest (dunes à pente raide) et est (pente douce et secteurs marécageux).
Sur le plateau, de nombreux cours d’eau drainent le territoire vers la côte et ses étangs, ou vers l’Adour. Les barthes de Montbardon et du ruisseau de Lamothe constituent les plaines inondables basses (altitudes entre 6 et 10 m) de cours d’eau partiellement artificialisés, qui séparent les légères hauteurs sur lesquels sont implantés les bourgs : au centre, Angresse, Saubion, Tosse ; au nord, Soorts et Seignosse ; au sud, Benesse-Maremne et St-Vincent-de-Tyrosse.

La courbure du golfe de Gascogne est ici perceptible et le massif dunaire s’efface. Labenne
Labenne, 23 février 2021
L’estuaire de l’Adour se situait au niveau de Capbreton jusqu’au XIVe siècle, ce qui faisait de la ville un port important sur la façade atlantique. Capbreton
Capbreton, 25 février 2021

  ROCHE ET SOL

Géologie de la Maremne
BRGM et IGN BD Topo

Du sable toujours mais en moindre épaisseur

Entité principalement littorale, la Maremne exprime des conditions géologiques dans le prolongement des deux unités littorales situées plus au nord. On y retrouve donc les mêmes éléments structurants mais avec quelques nuances dues à la proximité de l’Adour et de ses terrasses.

Les constantes du littoral landais
Alors que le socle plus ancien, jusqu’au Tertiaire compris, n’affleure pas sous les couches de sables alluviaux ou éoliens qui recouvrent la Maremne, l’enchaînement typique du littoral landais (plage – dunes - lacs ou mariais – plateau sableux) expose les formations d’âge quaternaire ou historique selon la succession suivante :
Les dunes et plages récentes (Dz) forment un cordon étroit devant les dunes en forme de barkhanes et les dépressions (lettes) associées (Dz-b) puis les dunes paraboliques côtières (dz-p) un peu plus anciennes (Holocène) aux reliefs plus marqués.
A l’est des ensembles dunaires, comme dans les autres unités littorales, la différenciation entre lacs (Garros, Turc, Laguibe, Etangs noir, Blanc, d’Hardy) et marais (dépressions de Monbardon et du moulin de Lamothe, marais d’Orx) est en partie réalisée aux échelles historiques, et consécutive à des actions volontaires (drainages, barrages, etc.).

Les particularités de la Maremne
Au contact de la Grande Lande, la proximité de la vallée actuelle de l’Adour et les vestiges morphologiques et sédimentaires de ses anciens tracés se révèlent par la proximité, sous le sable de landes, des terrasses qui ont accompagné les tracés successifs du fleuve dont l’embouchure la plus ancienne se trouve vers Léon. Aux premières glaciations (Günz, Mindel), l’Adour rejoignait Vieux Boucau via Saint-Geours de-Maremne et Soustons.
Ensuite le fleuve et ses épandages se sont décalés vers le sud. Au Riss, l’Adour emprunte le canyon de Saubrigues, qui se prolonge sous l’océan par le gouf de Capbreton. Si ce fossé tectonique se combine avec des formes d’érosion pour tracer un relief sous-marin assez exceptionnel, son rôle est bien plus limité en termes de paysages terrestres. Il se traduit surtout dans la configuration du littoral, l’ensemble canyon de Saubrigues-gouf de Capbreton expliquant l’angle que forme le trait de côte au niveau de Capbreton, et l’importance des dépressions côtières (port, lac d’Hossegor) qui confluent dans le voisinage de cette déformation.
Plus tard, au Würm, le lit de l’Adour va poursuivre son décalage vers le sud jusque vers Bayonne mais conservera longtemps une embouchure à Capbreton, au prix d’une remontée vers le nord le long de la côte. Et ce n’est qu’au XVIe siècle que son embouchure actuelle sera fixée, artificiellement cette fois.
Dans la partie sud de l’unité paysagère, la séquence géomorphologique littorale est inachevée vers l’est, les dunes disparaissent entre Labenne et Ondres, les dépressions inter-dunaires ou d’anciens édifices dunaires viennent au contact des plateaux de Seignanx qui diffèrent de la Grande Lande.

Pédologie de la Maremne
IGN BD Topo, Référentiel régional pédologique de la région Nouvelle-Aquitaine INRA

Les sols traduisent les premiers effets de la proximité des plateaux du Sud

Les conditions sableuses dominantes déterminent les mêmes types de sols que sur l’ensemble du littoral. Au-delà des plages et des dunes vives ou peu évoluées, la podzolisation est d’autant plus avancée que la surface est peu remaniée, que ce soit par le vent ou par l’action humaine au travers des pratiques agricoles, mais aussi des types de sylviculture pratiqués.
A l’approche de l’Adour ou de l’entité du Gosse-Seignanx, la couche de sable commence à se faire moins épaisse, laissant s’exprimer les roches constitutives des formations des plateaux ou des terrasses alluviales. Ce sont les sols caractéristiques des landes sèches de vallées qui en font les frais, au profit des landes humides de plateaux qui viennent au contact des sols bruns sableux hydromorphes prolongeant les étangs et marais.

  AGRICULTURE

Agriculture de la Maremne
Registre Parcellaire Graphique (2016), IGN BD Topo

De petites clairières cultivées sur le plateau landais

Les parcelles agricoles restent rares dans ce territoire littoral et forestier. L’activité agricole est absente sur le cordon dunaire, elle prend un peu plus d’importance sur le rebord du plateau landais, ouvrant de petites clairières dans le couvert forestier.

Dans les champs, les cultures de maïs dominent largement, complétées par des cultures oléoprotéagineuses (tournesol, colza…) et légumières (asperges) ainsi que quelques prairies dans des fonds de vallons.

Les parcelles agricoles sont peu nombreuses. Seignosse
Seignosse, 25 février 2021

  ARBRE ET FORET

Bois et forêt de la Maremne
IGN BD Topo, Inventaire Forestier National

La Maremne est un territoire forestier. La forêt est ici dominante, présentant des profils variés entre forêt de protection sur le littoral, forêt de protection sur les dunes ou le plateau landais et forêt-galerie accompagnant les milieux humides.

Sur la côte, une forêt de protection puis de production

Les dunes mobiles du littoral ont à plusieurs reprises enseveli des villages entiers entre le Moyen-âge et le milieu du XIXe siècle. Pour lutter contre l’ensablement des zones habitées, des campagnes de plantations de pins ont été mises en place à partir du XVIIIe siècle. Au début du XXe siècle, la fixation des dunes est considérée comme terminée. Une forêt « de protection » prend ainsi place tout le long du littoral (sauf au nord de l’embouchure de l’Adour sur la commune de Tarnos) entre la dune bordière avec sa lette grise et les premiers grands cordons des dunes. Cette lisière forestière, comporte au premier plan des arbres bas avec des branches sèches et un port tortueux sous l’action du vent et des embruns. En second-plan, les pins retrouvent de la rectitude et prennent progressivement de la hauteur.
En arrière-plan, commence alors la forêt de production qui couvre les dunes tout en laissant la place à une végétation plus variée sur les pentes les plus fortes, difficilement exploitables, ainsi que dans des lettes plus humides. Le couvert arbustif sur dunes anciennes (arbousier, genêt à balais, bruyère cendrée, bourdaine …) est plus dense et plus diversifié que celle sur dunes modernes.
Sur les pentes Est des dunes modernes, se sont développées des plages de feuillus dans les futaies de pins maritimes. Il s’agit de secteurs forestiers à relief prononcé, voire à sol peu porteur. De fait, la sylviculture de production n’y est pas pratiquée, et l’on tend à « laisser faire » la dynamique végétale. À terme, ces secteurs sont composés de peuplements de Chênes (Chêne pédonculé, Chêne vert ou Chêne liège selon les situations). Cette évolution naturelle des « Pentes Est » est actée sur l’ensemble des Forêts du littoral aquitain gérées par l’ONF depuis 1990.

Une forêt dunaire en partie publique

Dans la Maremne, les propriétés domaniales ne couvrent qu’une étroite bande littorale sur les dunes de Seignosse, d’Ondres et de Tarnos. Les forêts communales de Soustons et de Seignosse forment également des forêts publiques, mais fragmentées, sur le massif dunaire.

La pinède du plateau landais

A l’est du massif dunaire, commence le plateau landais et ses plantations de pins. C’est le territoire de la forêt de production. Le réseau de crastes (fossés) vient compléter le maillage de petits cours d’eau, dense dans la Maremne, qui permet le drainage du plateau forestier. La forêt, dominante dans l’occupation des sols, est toutefois ici relativement fractionnée par les clairières urbanisées ou agricoles.
Les parcelles sont des futaies régulières, essentiellement de pins maritimes. Bien que peu diversifiée en termes d’essences, cette forêt cultivée présente une variété paysagère grâce à l’imbrication des parcelles aux peuplements d’âges différents. Coupe, jeune plantation, jeune futaie ou futaie adulte, créent une alternance de volumes et de transparence, des clairières temporaires. Le maintien par endroits de quelques feuillus lors des coupes, amène également un peu de diversité.

La forêt feuillue au contact de l’eau

La pinède de production est régulièrement interrompue par des couloirs de feuillus soulignant les nombreux petits cours d’eau qui drainent ce territoire. Ces « forêts-galeries » plus ou moins larges le long des rivières, sont dominées par les chênes, aulnes, saules, peupliers...

Au nord de la Maremne, la pinède recouvre un massif dunaire encore large. Seignosse
Seignosse, 25 février 2021
Au sud de la Maremne, les dunes laissent place à une dépression arrière-littorale plate. La pinède et sillonnée par les cordons feuillus qui accompagnent les cours d’eau. Vue vers Ondres depuis Labenne-Océan
Labenne, 23 février 2021

  URBANISME

Urbanisation de la Maremne
IGN BD Topo

Du port aux villes du tourisme

C’est dans le « gouf » de Capbreton, immense fjord sous-marin, que se jetait l’Adour avant que son embouchure ne soit détournée sur Bayonne. Capbreton fut ainsi, jusqu’au XIVe siècle, un port important sur la façade atlantique. Jusqu’à la fin du XVIe siècle il fut un grand port de pêche à la baleine, puis à la morue. Devenu destination balnéaire depuis la fin du XIXe, le port de pêche d’origine se transforma en port de plaisance sous l’impulsion de la MIACA [1] dans les années 1970.
La station d’Hossegor fut créée de toutes pièces autour de son lac dans la première moitié du XXe siècle. Elle est restée station réputée avec de belles villas modernes, de style bascolandais pour la plupart, entourées de parcs sous les pins. Un tourisme plus populaire est né ensuite avec Capbreton, puis avec les nouvelles stations de Seignosse-océan et de Labenne-océan plus au sud.
Aujourd’hui, le pôle urbain de Capbreton/Soorts-Hossegor/Seignosse-Océan forme un front bâti continu de 10 km de long en bord de mer (sur 1 à 2 km d’épaisseur) ce qui constitue une configuration unique sur la côte landaise.

Un couloir de communication

La Maremne est traversée depuis toujours par plusieurs axes de communication qui permettaient de relier Bordeaux ou Dax à Bayonne et à l’Espagne : voie romaine, route royale, chemin de St-Jacques-de-Compostelle, route nationale… ont participé au développement économique du territoire, de même que l’Adour qui a jusqu’au XVe traversé la Maremne.
Du XIXe siècle, avec le chemin de fer, à aujourd’hui (RD810, A63) les infrastructures ont continué à se concentrer sur la Maremne, favorisant ainsi une bonne desserte et pour partie son attractivité, mais tout en fractionnant également ce territoire finalement assez étroit.

L’influence de l’agglomération Bayonne-Anglet-Biarritz

Au sud, la présence de ces axes de communication et l’influence de l’agglomération de Bayonne-Anglet-Biarritz a induit un fort développement urbain qui s’étire le long de la RD810 en englobant les bourgs de Tarnos, Ondres et Labenne. Les coupures d’urbanisation sont réduites et les limites et les centralités parfois peu lisibles, diluées par les extensions urbaines et les activités commerciales ou industrielles positionnées le long des axes principaux.

L’attractivité du territoire de la Maremne se traduit dans sa population qui ne cesse de croitre. Toutes les communes dépassent le millier d’habitants : Tarnos (12 400 hab), Capbreton (8 800 hab), Saint-Vincent-de-Tyrosse (7 600 hab), Labenne (6 400 hab), Ondres (5 200 hab),Seignosse (3 900 hab), Hossegor (3 700 hab), Bénesse-Maremne (3 000 hab), Tosse (2 700 hab), St-Geours-de-Maremne (2 600 hab), Angresse (2 000 hab), Saubion (1 400 hab).

Au sud de la Maremne, les influences conjuguées du littoral et de l’agglomération Bayonne-Anglet-Biarritz entrainent un fort développement urbain. Ondres
Ondres, 25 février 2021
Le pôle urbain de Capbreton/Soorts-Hossegor/Seignosse-océan forme un front bâti continu de 10 km de long en bord de mer. Seignosse
Seignosse, 25 février 2021

  PATRIMOINE

Patrimoine culturel

Patrimoine culturel de la Maremne
IGN BD Topo, DREAL Nouvelle-Aquitaine

Couvrant la quasi-totalité de la Maremne, le site inscrit des Etangs landais sud s’étend entre l’océan et la RD810. Ce vaste site inscrit constitue un écrin englobant les trois sites classés autour des étangs de Hardy, Blanc et Noir. La procédure d’inscription a été initiée suite aux réflexions de la MIACA [2] sur le plan d’aménagement de la Côte Aquitaine qui visait à encadrer les équipements sur cette côte mais également à renforcer les protections. L’inscription des Etangs landais Sud (en 1969) constituait un axe de cette politique de protection.

Le site du lac d’Hossegor et son canal ont été inscrits à l’inventaire des sites en 1942 dans le but de canaliser les constructions sur les rives du lac.
Soorts-Hossegor est couvert par un SPR [3] qui concerne les différents ensembles urbains de Soorts et d’Hossegor dont le front de mer et les lotissements sous les pins, urbanisme paysager qui a fait la réputation de la ville.

La Cité des forges de Tarnos est concernée par une ZPPAUP [4] protégeant ce patrimoine ouvrier du XIXe siècle.
Dans ce territoire, pourtant très urbanisé, les monuments historiques protégés restent rares. On y trouve quelques églises (Capbreton, St-Geours-de-Maremne, Tarnos, Tosse), le Sporting-Casino à Soorts-Hossegor, La maison du Rey à Capbreton.




Patrimoine naturel

Patrimoine naturel de la Maremne
IGN BD Topo, DREAL Nouvelle-Aquitaine

Dans ce territoire riche de milieux naturels variés, de nombreuses protections et inventaires concernent le littoral et le milieu dunaire d’une part et les milieux humides des étangs et de leurs rives, des marais et courants de l’autre.
Suite aux réflexions de la MIACA sur le plan d’aménagement de la Côte Aquitaine, la protection des SEN [5] a été assurée par la création de réserves naturelles, notamment celle de l’étang Noir.
Les étangs Hardy, Blanc et Noir sont couverts par des inventaires Znieff, zones Natura 2000.

L’ensemble du littoral (hors zones construites) et une bonne partie de l’arrière dune sont concernés par des inventaires Znieff, des zones Natura 2000 et par plusieurs ENS [6] sur les dunes.

L’étang Noir est protégé au titre des réserves naturelles mais également comme site classé. Seignosse
Seignosse, 25 février 2021
Les milieux spécifiques littoraux bénéficient de multiples protections. Ondres
Ondres, 25 février 2021



  BIBLIOGRAPHIE

 SPR AVAP Soorts-Hossegor. 2018
 Portrait des paysages de Nouvelle-Aquitaine. Région Nouvelle-Aquitaine. 2018
 SCoT Maremne Adour Côte Sud. 2014
 SCoT Agglomération de Bayonne et du sud des Landes. 2014
 Atlas des sites classés et inscrits des Landes. Diren Aquitaine. 2009
 ZPPAUP Tarnos-cité des Forges. 2005
 Atlas des paysages des Landes. CD 40. 2004
 Analyse et qualification des paysages en vue de leur protection dans le cadre de la loi littoral- Communes de Seignosse, Hossegor, Capbreton, Labenne, Ondres, Tarnos. Diren Aquitaine. 1993

[1Mission Interministérielle d’Aménagement et de Côte Aquitaine

[2Mission Interministérielle d’Aménagement et de Côte Aquitaine

[3site patrimonial remarquable

[4Zone de Protection du patrimoine architectural, urbain et paysager

[5Secteurs d’Equilibre Naturel

[6Espace Naturel Sensible