Repères géographiques du Sud-Born et Marensin

Dernière mise à jour : 4 septembre 2023

  RELIEF ET EAU

Relief et hydrologie du Sud-Born et Marensin
IGN BD Topo

Comme sur tout littoral landais, le relief du Sud-Born et Marensin est marqué par la confrontation entre, à l’est, le plateau landais et, à l’ouest, le massif dunaire.

Le plateau landais

Le rebord de ce vaste plateau présente des altitudes modestes, comprises entre 3 m et 40 m. Il descend en pente très douce vers l’ouest. Les points les plus bas sont atteints au pied des premières dunes, dans les vallons des multiples ruisseaux qui drainent le plateau et au bord des étangs (altitude la plus basse, 3 m, au bord de l’étang de Soustons).

Un massif dunaire qui décroit vers le sud

Le massif dunaire est ici moins large qu’au niveau des Grands Lacs du Born. Il borde le littoral sur une largeur moyenne de 5 km. Il devient plus étroit (3 km) en deux endroits du littoral, au niveau du marais de Contis (ancien étang de St-Julien-en-Born) et à hauteur du Lac de Léon.
Le massif dunaire présente un relief complexe, constitué d’une succession de chaînes dunaires séparées par des dépressions (lettes ou lèdes), dont la profondeur atteint fréquemment 30 à 40 m. La succession des dunes présente des sommets dont l’altitude s’élève progressivement vers l’est, depuis la dune bordière (15 à 25 m) jusqu’aux plus hautes dunes atteignant entre 50 m et 75 m. Au nord de l’étang de Léon, les plus hautes dunes forment une dorsale autour des 70-75 m d’altitude. Au sud de Léon, la hauteur des dunes décroit, les plus élevées ne dépassant plus guère les 50 m de hauteur.
A l’ouest, la dune vive borde le littoral océanique le long de la plage et s’étend sur quelques centaines de mètres de large. Son altitude varie de 15 à 25 m. Avec un sol purement minéral, elle est localement mobile sous l’action du vent et des tempêtes. La végétation a beaucoup de mal à s’implanter. Aujourd’hui, la stabilisation du cordon dunaire est assurée par l’ONF [1] à l’aide de palissades, de dépôts de branchages et de plantations d’oyats.

Un chapelet d’étangs arrière-littoraux

La chaîne des étangs et marais d’arrière-dune s’est formée suite à l’élévation des massifs dunaires ; les petits fleuves côtiers landais se sont trouvés bloqués par le sable et ont donné naissance au chapelet d’étangs et marais qui jalonne le contact entre le massif dunaire et le grand plateau des Landes. Les deux principaux étangs sont ceux de Léon (368 ha) et de Soustons (480 ha). Les étangs sont ici plus nombreux (il y en a une dizaine) et moins importants que dans le nord du littoral landais. Ils présentent une dissymétrie entre les profils des rives ouest (dunes à pente raide) et est (pente douce et secteurs marécageux). Peu profonds, ils sont en voie de comblement et certains ont déjà disparu : étangs de St-Julien-en-Born, de Lit-et-Mixe. Pour en savoir plus lire : Le comblement des plans d’eau douce du littoral landais : un enjeu territorial majeur. 2019

Les courants constituent des brèches dans le massif dunaire et sont les exutoires des étangs arrière-littoraux. Pour être fixés, ils ont tous été endigués à l’exception du courant d’Huchet.
 le courant de Contis, émissaire des anciens étangs de Lit-et-Mixe et de St-Julien-en-Born.
 le courant d’Huchet, exutoire de l’étang de Léon. Ce courant longe le cordon littoral sur plusieurs kilomètres. Son embouchure est saisonnièrement décalée vers le sud par des apports de sable dus à la dérive continentale.
 le courant de Messanges, exutoire des petits étangs de Moliets-et-Mâa, la Prade et Moïsan.
 le courant de Soustons, émissaire de l’étang de Soustons, mais également des étangs Noir, Blanc, et Hardy.

L’estuaire de l’Adour se trouvait au niveau de Capbreton jusqu’au XIVe siècle. Après avoir longé la ville de Bayonne, il remontait vers le nord en englobant le cours du Boudigau. Vers 1310, diverses tempêtes et accumulations de sables modifient son cours et l’embouchure de l’Adour se déplace alors à Vieux-Boucau. L’embouchure actuelle de l’Adour à Boucau-Neuf, près de Bayonne, date de 1578.
Le lac de Port d’Albret est quant à lui un lac marin créé dans les années 70 suite aux aménagements de la MIACA sur l’emplacement de l’estuaire du courant de Soustons. Il recueille les eaux des courants de Soustons et de Messanges.

Le courant d’Huchet, émissaire de l’étang de Léon, longe la dune bordière. Moliets-et-Maâ
Moliets-et-Maâ, 23 février 2021
Le lac de Port d’Albret est un lac marin créé sur l’emplacement de l’estuaire du courant de Soustons. Vieux-Boucau-les-Bains
Vieux-Boucau-les-Bains, 23 février 2021

  ROCHE ET SOL

Géologie du Sud-Born et Marensin
BRGM, IGN BD Topo

Un résumé du littoral aquitain

Entre l’unité des Grands Lacs du Born et celle de Maremne, le Sud-Born et Marensin offre le panorama le plus complet des formes dunaires et des composantes hydrographiques associées.
Les sables éoliens déposés au Quaternaire récent recouvrent et masquent entièrement les formations plus anciennes du bassin d’Aquitaine, marines puis continentales. La bande dunaire et l’enchaînement des formes post-glaciaires depuis l’ouest de la Haute Lande jusqu’aux plages ont atteint différents stades d’évolution. L’accumulation dunaire qui fait barrage à l’écoulement des fleuves issus de la Haute Lande a provoqué l’inondation des formations sableuses plus anciennes (formations dites d’Onesse et surtout de Castets, début du Quaternaire) où se combinent les éléments d’origines fluviatile (deltas de fleuves côtiers) et éolienne présentant des fractions argileuses ou grossières plus importantes. En remontant plus loin dans la Grande Lande, le sable des landes proprement dit devient hégémonique.

Un ancien lac comblé par les alluvions post-glaciaires forme les marais de Contis, alors que près de Léon ou de Soustons, des lacs résiduels, aux bords souvent tourbeux, occupent encore le fond de la dépression alluviale.
Le Sud-Born et Marensin se distingue des autres unités littorales par une plus grande diversité des composantes morphologiques :
  Des courants plus nombreux et rejoignant plus directement le littoral depuis les étangs ou dépressions ;
  Une plus grande variation de l’étendue de l’ensemble dunaire (2,6 km de large au courant de Contis, plus de 9 km entre Azur et Léon)
  Dédoublement du massif dunaire par l’intercalation de dépressions et de petits étangs, tapissés de dépôts argileux ;
  A l’est de la dépression de Soustons, le rattachement à la Grande Lande est légèrement perturbé par la proximité de l’Adour dont les terrasses étagées commencent à mélanger leurs matériaux au sable.
  Au sud de Léon, le courant de Messanges, celui d’Huchet et les vallées d’autres courants aujourd’hui disparus longent la côte dans une dépression argileuse assez continue qui rejoint vers le sud les anciens cours de l’Adour. Ces dépressions à proximité des plages où le relief dunaire est effacé ont favorisé l’urbanisation (Moliets, Messanges, Vieux-Boucau-les-Bains).

 
Pédologie du Sud-Born et Marensin
IGN BD Topo, Référentiel régional pédologique de la région Nouvelle-Aquitaine INRA

Dépressions et marais accroissent le contraste avec les dunes

Le sable dunaire, plus récent que le « sable des landes » défini par les géologues, est aussi plus homogène, pauvre en éléments grossiers comme en limons et argiles. Lorsque la végétation se fixe suffisamment longtemps, c’est l’évolution vers des podzols qui est la plus fréquente. Au-delà de la dune bordière et des dunes grises encore très peu altérées, la podzolisation apparaît rapidement dès les premières dunes boisées, puis se différencie selon la proximité de la nappe, entre lettes humides et dunes plus sèches.
On retrouve les mêmes podzols jeunes à proximité des lacs. Autour ou dans les secteurs de marais qui remplacent les anciens lacs, les sols sableux hydromorphes sont assez développées. Vers la Grande Lande, ils contrastent avec les sols de landes sèches de plateau. Quant aux sols des dépressions littorales, ils se distinguent peu de ceux des lettes, ce sont surtout leurs dimensions qui conduisent à des occupations du sol différentes (urbanisation surtout).

  AGRICULTURE

Agriculture du Sud-Born et Marensin
Registre Parcellaire Graphique (2016), IGN BD Topo

De petites clairières cultivées

Les parcelles agricoles restent rares dans ce territoire littoral et forestier. L’activité agricole n’occupe que 4% du sol, ouvrant de petites clairières dans le couvert forestier. Pour l’essentiel, il s’agit de cultures de maïs, complétées par des cultures légumières (asperges, notamment vers St-Julien-en-Born) et quelques prairies.

Autour de Messanges, on note la présence de parcelles de vignes, qui témoignent de la relance du vin des sables, perpétuant la mémoire des vignes qui jusqu’au XIXe siècle participaient à la fixation et à la valorisation des dunes. (Pour en savoir plus lire Le vignoble landais)

L’activité agricole n’occupe que 4% du sol, ouvrant de petites clairières dans le couvert forestier. Moliets-et-Maâ
Moliets-et-Maâ, 23 février 2021

  ARBRE ET FORET

Forêt et arbres du Sud-Born et Marensin
IGN BD Topo, Inventaire Forestier National

La forêt est ici largement dominante, présentant des profils variés entre forêt de protection sur le littoral, forêt de protection sur les dunes ou le plateau landais et forêt-galerie accompagnant les milieux humides.

Sur les dunes, une forêt de protection puis de production

Les dunes mobiles du littoral ont à plusieurs reprises enseveli des villages entiers entre le Moyen-âge et le milieu du XIXe siècle. Pour lutter contre l’ensablement des zones habitées, des campagnes de plantations de pins ont été mises en place à partir du XVIIIe siècle. Au début du XXe siècle, la fixation des dunes est considérée comme terminée. Une forêt « de protection » prend ainsi place tout le long du littoral entre la dune bordière avec sa lette grise et les premiers grands cordons des dunes. Cette lisière forestière, comporte au premier plan des arbres bas avec des branches sèches et un port tortueux sous l’action du vent et des embruns. En second plan, les pins retrouvent de la rectitude et prennent progressivement de la hauteur.

La forêt de pin et de chêne liège

En arrière-plan, commence alors la forêt de production qui couvre les dunes tout en laissant la place à une végétation plus variée sur les pentes les plus fortes, difficilement exploitables, ainsi que dans des lettes plus humides.
Sur les pentes Est des dunes modernes, se sont développées des plages de feuillus dans les futaies de pins maritimes. Il s’agit de secteurs forestiers à relief prononcé, voire à sol peu porteur. De fait, la sylviculture de production n’y est pas pratiquée, et l’on tend à « laisser faire » la dynamique végétale. À terme, ces secteurs sont composés de peuplements de Chênes (Chêne pédonculé, Chêne vert ou Chêne liège selon les situations). Cette évolution naturelle des « Pentes Est » est actée sur l’ensemble des Forêts du littoral aquitain gérées par l’ONF depuis 1990.
Le couvert arbustif sur dunes anciennes (arbousier, le genêt à balais, la bruyère cendrée, la bourdaine …) est plus dense et plus diversifié que celle sur dunes modernes. Le Marensin est l’une des quatre régions en France où le chêne liège est présent, sur quelques 2 300 hectares en sous étages ou ponctuellement en suberaies [2] pures (inventaire réalisé par le « Liège Gascon »). Autour de Soustons, plusieurs entreprises pratiquent la transformation du liège.

Une forêt dunaire majoritairement publique

Héritage de l’histoire de la fixation des dunes, la forêt dunaire, qu’elle soit de protection ou de production, est essentiellement domaniale au nord de l’étang de Léon (forêts domaniales de Mimizan, de St-Julien-en-Born, de lit-et-Mixe, de Vielle-St-Girons). Au sud de l’étang de Léon, les propriétés domaniales ne couvrent plus qu’une étroite bande littorale sur les dunes de Moliets-et-Maâ et de Messanges. Enfin les forêts publiques sont également représentées par les forêts communales de Soustons et de Seignosse.

La pinède de production du plateau landais

A l’est du massif dunaire, s’étend le plateau landais et ses immenses plantations de pins. C’est le territoire de la forêt de production. Les parcelles sont des futaies régulières, essentiellement de pins maritimes. Le réseau dense de crastes (fossés) joue un rôle essentiel dans le drainage du plateau forestier.
Bien que peu diversifiée en termes d’essences, cette forêt cultivée présente une variété paysagère grâce à l’imbrication des parcelles aux peuplements d’âges différents. Coupe, jeune plantation, jeune futaie ou futaie adulte, créent une alternance de volumes et de transparence, des clairières temporaires. Le maintien par endroits de quelques feuillus lors des coupes, amène également un peu de diversité.

La forêt feuillue au contact de l’eau

La pinède de production est seulement interrompue par les forêts-galeries de feuillus soulignant les petits cours d’eau qui alimentent les étangs littoraux. Ces « forêts-galeries » plus ou moins larges le long des rivières, sont dominées par les chênes, aulnes, saules, peupliers...

La forêt galerie du courant d’Huchet (ici au premier plan) est dominée par les feuillus. (Au fond, on aperçoit l’étang de Léon). Les chênes lièges sont également nombreux au sein des pinèdes dunaires. Moliets-et-Maâ
Moliets-et-Maâ, 1er juin 2021
La pinède de production recouvre une grande partie du massif dunaire et se prolonge sur le plateau landais. Saint-Julien-en-Born
Saint-Julien-en-Born, 5 août 2021

  URBANISME

Urbanisation du Sud-Born et Marensin
IGN BD Topo

Une frange littorale ponctuée de stations balnéaires peu étendues

Durant les années 70, la MIACA [3] a classé une grande partie du littoral de la Côte Centre Landes (notamment sur les communes de Lit-et-Mixe et Vielle-St-Girons) en Secteur d’Equilibre Naturel (SEN). Cela a permis de préserver le littoral de l’urbanisation et de donner à cette portion du littoral landais un aspect moins aménagé qui fait son charme aujourd’hui, en contre-point de secteurs plus urbanisés du Maremne ou des Grands Lacs du Born.
La frange littorale est aujourd’hui ponctuée de stations balnéaires clairement lisibles et éloignées les unes des autres. Peu de constructions sont édifiées sur le trait de côte. L’urbanisation sur les dunes boisées reste rare, si l’on excepte le quartier du golf à Moliets et quelques campings.

Les communes ont ainsi développé une organisation bipolaire avec le bourg à l’intérieur des terres relié par une route à la plage ou à la station balnéaire sur la côte. Le littoral est ainsi ponctué de plages et de petites stations balnéaires (Cap de l’Homy et St-Girons-plage) qui offrent des aménagements réduits aux structures indispensables à la gestion de la fréquentation. Ils mettent en valeur le caractère naturel de la côte tout en offrant un accès pratique à la plage.
Au nord, Contis-les-Bains, c’est progressivement un peu plus étendue, tout en restant une station de taille modeste. Au sud, Moliets, Messanges et Vieux-Boucau constituent des stations plus développées.

Soustons (8100 hab) et Léon (1900 hab), toutes deux implantées au bord de leur étang, constituent les principaux pôles urbains. Le territoire reste attractif pour l’ensemble des communes littorales et toutes ou presque dépassent le millier d’habitants : St-Julien-en-Born (1670 hab), Vieux-Boucau-les-Bains (1600 hab), Lit-et-Mixe (1630 hab), Vielle-Saint-Girons (1360 hab), Moliets-et-Maâ (1200 hab), Messanges (970 hab). Les communes situées sur le plateau landais restent plus modestes : Azur (860 hab), Bias (760 hab), St-Michel-Escalus (310 hab).

De nombreux campings

Comme sur tout le littoral landais, les nombreux campings à proximité du littoral et des lacs, occupent de vastes emprises sous les pins et forment de véritables petites villes saisonnières qui fonctionnent en autarcie.

Les stations du Sud-Born et Marensin restent de taille modérée. A l’exception d’une ligne de villas sur la dune, Contis-les-Bains s’est développé en arrière de la dune bordière. Saint-Julien-en-Born
Saint-Julien-en-Born, 6 janvier 2021
Les campings occupent de vastes superficies, formant de petites villes saisonnières. Moliets-et-Maâ
Moliets-et-Maâ, 23 février 2021

  PATRIMOINE

Patrimoine culturel

Patrimoine culturel du Sud-Born et Marensin
IGN BD Topo, DREAL Nouvelle-Aquitaine

Couvrant la quasi-totalité du Sud-Born et Marensin, les sites inscrits des Etangs landais nord et sud s’étendent entre l’océan et la RD 652, puis la RD42 au sud de St-Girons. Ces deux vastes sites inscrits englobent plusieurs sites classés autour des étangs de Moliets, de Laprade, de Soustons, de Moïsan et de Léon ainsi que le site classé du courant d’Huchet et de ses rives.
La procédure d’inscription a été initiée suite aux réflexions de la MIACA sur le plan d’aménagement de la Côte Aquitaine qui visait à encadrer les équipements sur cette côte mais également à renforcer les protections. L’inscription des Etangs landais Sud (en 1969) et Nord (en 1977) constituait un axe de cette politique de protection.

Les monuments historiques protégés sont rares sur cette unité paysagère. On y trouve le phare de Contis, la Maison Boulart à Vielle-Saint-Girons, et l’Airial de Nogaro à Azur.


















Patrimoine naturel

Patrimoine naturel du Sud-Born et Marensin
IGN BD Topo, DREAL Nouvelle-Aquitaine

Dans ce territoire riche de milieux naturels variés, de nombreuses protections et inventaires concernent le littoral et le milieu dunaire d’une part et les milieux humides des étangs et de leurs rives, des marais et courants de l’autre.
Suite aux réflexions de la MIACA sur le plan d’aménagement de la Côte Aquitaine, la protection des SEN a été assurée par la création de réserves naturelles, notamment celle du Courant d’Huchet.

Le phare de Contis est inscrit aux monuments historiques depuis 2009. Saint-Julien-en-Born
Saint-Julien-en-Born, 5 août 2021
Les courants et leurs milieux humides associés font l’objet de multiples protections et inventaires. Courant de Contis, Lit-et-Mixe
Lit-et-Mixe, 6 janvier 2021
Le courant d’Huchet et ses milieux humides sont classés réserve naturelle nationale depuis 1981. Moliets-et-Maâ
Moliets-et-Maâ, 7 août 2021



  BIBLIOGRAPHIE

 SCoT du Born. 2020
 Le comblement des plans d’eau douce du littoral landais : un enjeu territorial majeur. 2019
 SCoT Côte Landes Nature. 2018
 SCoT Maremne Adour Côte Sud. 2014
 Portrait des paysages de Nouvelle-Aquitaine. Région Nouvelle-Aquitaine. 2018
 Atlas des sites classés et inscrits des Landes. Diren Aquitaine. 2009
 Etude en vue de la requalification du site inscrit des étangs landais nord. Diren Aquitaine. 2007
 Atlas des paysages des Landes. CD 40. 2004
 Analyse et qualification des paysages en vue de leur protection dans le cadre de la loi littoral- Communes de Mimizan, St-Julien-en-Born, Lit-et-Mixe, Vielle-St-Girons, Seignosse. Diren Aquitaine. 1993

[1Office National des Forêts

[2peuplements de chênes lièges

[3Mission Interministérielle d’Aménagement de la Côte Aquitaine

Voir aussi